Présentation de l'Editeur
CAIUS EST UN ANE.
La phrase inscrite par Rufus sur sa tablette remporte un grand succès en classe. Mais Caïus rougit de colère. Comment Rufus ose-t-il l'insulter, lui, le fils d'un richissime sénateur? Pourtant, le lendemain, plus personne n'a envie de rire. La même phrase est tracée en lettres rouges sur la façade du temple de Minerve. Or, dans la Rome impériale, le sacrilège est terrible...
FICHE TECHNIQUE DU LIVRE
Titre : L'affaire Caïus
Auteur : Henry WINTERFELD
Edition : Le Livre de Poche Jeunese
Roman historique (¹)
à partir de 10 ans
L' édition originale de cet ouvrage
a paru en langue allemande
aux éditions Lothar Blanvallet,Berlin,
sous le titre :
CAIUS IST EIN DUMMKOPF
Traduit de l'allemand par :
Olivier Séchan
Dépôt légal Éditeur n° 35652 1985.10 Texte intégral
Imprimé en Italie par G. Canale & C. S.p.A. - Borgaro T.se (Turin) mai 2003
32.10.1887.2/05
Composition Jouve - 53100 Mayenne
N° 295394v
Poids : 175 grammes Nombre de pages : 252
Loi n° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications
destinées à la jeunesse Dépôt : juin 2003.
© Hachette Livre, 1996, 2001.
Reliure : Brochée sur carton souple à double volets entiers illustrée couleurs en recto par Eric Héliot
TABLE DES MATIÈRES : OUI
Format : 125 x 180 mm
I.S.B.N : 2.01.321887.7 Code Barre = EAN : 9 782013 218870
COUVERTURES année 2003
COMMENTAIRE en ligne
L'affaire Caïus, by Henry WINTERFELD
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MOTS - CLÉS
Un âne, Archimède ( est mort il y a plus de trois cents ans), Le batiment des Archives, Un Atrium, Un Bélier, La Bibliothèque d'Appollon, Brutus a tué César, Le Cadran solaire, Le Capitole, Le Bureau du Censeur, César, Œuvres de Jules César. Le Champ de Mars, Le Grand Cirque, Un Consul, Les Copistes (esclaves des riches patriciens ), Des Cothurnes, Des Cuirasses, Discours de Cicéron, Eschyle, Ecole Xanthos : la meilleure école de Rome, Des Esclaves, Des Esclaves affranchis, Le mont Esquilin, Euclide, Euripide, Des Fers, Le Forum, Un Fusain, Les Galères, Un Glaive, Hercule, Homère, Un Intendant, Une Litière, Les jardins de Lucullus, Lukos, Un Messager, Ostie, Le Palais impérial, Le mont Palatin, Un Parchemin, Des Patriciens (riches), le Pensum, Le Péristyle de bâtiments publics, La Piscine, les bains de Diane, La place de Minerve, Un Pochoir, Pompée, Des Porteurs, Un Précepteur, Le Préfet de la Ville, Des Prétoriens (soldats), La Prison municipale, Pythagore, en Quarantaine, Les Rédacteurs du journal, Rome compte un demi-million d'habitants, La Rue Large, Salluste, Des Sandales, Un Scribe, Un Sénateur, Sénèque, Des Sesterces, Sophocle, Un Stylet, Une Supplique, Une Tablette de cire, Tellus, Le temple de Minerve consacré à l'Empereur monument simple, Un Théorème, Les Thermes du Champs de Mars, Le Grand pont sur le Tibre, Tite-Live, Une Toge, Un Tribun, Quartier de Villas aristocratiques, Le Quirinal, Le Viminal.
PROVERBES CITÉS
Proverbe 1 : «L'arme la plus dangereuse d'un esclave, c'est sa langue! » - Non, répondit Xantippe en secouant la tête. C'est pratiquement impossible. Vous connaissez le proverbe : p. 138
Jamais un homme riche ne confiera un secret à un esclave, car il aurait trop peur que celui-ci ne bavarde ou ne lui extorque de l'argent pour prix de son silence. Non! Un homme riche doit commettre ses crimes lui-même, s'il veut dormir tranquille. p. 138
Proverbe 2 : « Aide-toi, le Ciel t'aidera! » - Allons! allons! fit Xantippe. Ne nous lançons pas tout de suite dans des dépenses inutiles! Comme dit le proverbe : p. 138
Explication : Proverbe 2 : « Aide-toi, le Ciel t'aidera! »
Au contraire je crois qu'il seroit de mesme sentiment que moy, & je confirmerois aussi ce qu'il a dit en suite, par la continuation de l'Histoire du mesme lob : car quand nous sommes batus des orages de l'aversité, abattus de calamités, ces sortes de miseres, il faut avoir recours à sa miséricorde, implorer sa grace, & reclamer son assistance avec laquelle nous devons agir, & côoperer de toutes nos forces, & autant que sa bonté nous donne de puissance : car nous ne nous devons pas figurer, que Dieu s'oblige à somenter nostre negligence, & que nous devions attendre les bras croisez le secours de sa grace, comme cet imprudent Charretier de la fable, qui a donné commencement à cet apophtegme, ou qui en a esté inventée sur qui voyant son Charriot embourbé, & que ses beufs aprés quelques efforts ne le pouvoient tirer du bourbier, se jettoit par terre, faisoit le desespéré, & crioit à gorge deployée, Jupiter mes beufs, Jupiter mon charriot, à l'ayde, au secours, periray-je sans assistance : mais au fort de ses cris, & au milieu de son desespoir, vn voix du Ciel bruyant à ses oreilles, & redarguaue la paresse, il luy dit d'un tonassés rude : léve toyt fainéat, pique tes beufs, mets la main à l'œuvre, preste l'espaule, pousse la rouë, Ayde toy, & je t'ayderay. Si lob, l'affliction, & patience du quel ne sont inconnuës à aucun Chrestien, ne se fut pas evertué, & si abusant de la santé que Dieu luy rendit, & des biens dont il luy fait present par les mains de ses Parens & de ses amis, se fut endormy sur l'oreiller de loiseveté sans prendre le soin, ny la peine de les faire valoir, il fut demeuré dessus son fumier, & mort dans sa misère. Ayons la mesme pensée de nous, & disons que si dans l'affliction, & abaissement nous demeurions les bras croisez & croupissions paresseusement dans loisiveté, que nous peririons dans l'angoisse. Dieu ne veut pas que nous enfouyssions le talent de sa grace, il nous ordonne de le faire valoir, & nous dit pour cela, Aide toy, & ie t'ayderay.
source = L'ETYMOLOGIE OU EXPLICATION DES PROVERBES FRANCOIS
par FLEURY DE BELLIGEN
A LA HAYE Chez ADRIAN VLACQ
M, DC.LVI.
DÉFINITION
Du Roman
Le roman est un récit d'aventures, tantôt vraies, tantôt imaginaires, et dont le but est d'égayer ou de distraire en instruisant.
« Le roman est né du besoin de distraction et du goût de tous les peuples pour les fictions. A l'origine de notre littérature, il s'est confondu avec elle; du douzième au seizième siècle, il exerça presque exclusivement la verve des poètes et des prosateurs, sous les formes diverses de fabliaux, de chansons de geste, d' allégories morales et de récits de chevalerie. Naïf, religieux, héroïque et chevaleresque, avec un mélange de galanterie, dans les siècles de foi, le roman est devenu de plus en plus irréligieux et immoral à mesure que la socièté s'est pervertie. Il n'est pas de genre en littérature qui reflète mieux que le roman les croyances et les mœurs des peuples. » (P. MESTRE.)
On distingue : le roman d' intrigue, où l'action domine ; le roman de mœurs, où la peinture des caractères et des mœurs d'un pays tient la principale place; enfin le roman historique, où l'auteur raconte des événements réels qu'il complète en y introduisant des personnages supposés.
On peut assigner au roman quatre règles principales : la vraisemblance des faits, la vérité des caractères, la justesse d'observation dans la peinture des passions, le mouvement et la rapidité dans le récit.
Mais la première loi du roman est de respecter toujours la religion et la vertu. Trop souvent, à notre époque, le roman a favorisé le développement des passions malsaines et vulgarisé l'erreur dans l'ordre politique, moral ou religieux.
ANNEXE
Titre : L'affaire Caïus, by Henry WINTERFELD
Editeur : Livre de Poche Jeunesse
I.S.B.N-10 : 2013218877
I.S.B.N-13 : 978-201218870
LIENS
Wikipédia L'affaire Caïus
Wikipédia Henry Winterfeld
Critigo-Blog L'affaire Caïus
Lettres-AIX-MARSEILLE Fiche L'affaire Caïus