Présentation de l'Editeur
DEUX bons petits diables, ces jumelles, Isabelle et Patricia O'Sullivan! Parce que leurs parents ne leur demandent pas leur avis pour les mettre en
pension au collège Saint-Clair, elles sont bien décidées à se déchaîner! Pauvre directrice et pauvres professeurs, ils en verront de toutes les couleurs! Les deux jumelles ont plus d'un tour dans
leur sac!
Il est pourtant bien sympathique, ce collège Saint-Clair! On y travaille, mais on s'y amuse aussi. Les jumelles ne parviendront-elles pas à l'aimer et à s'y faire aimer?
Enid Blyton a écrit là un de ces récits simples et charmants dont elle a le secret.
F. au-delà de 10 ans
FICHE TECHNIQUE DU LIVRE
Titre : Deux jumelles en pension
Auteur : Enid BLYTON
Edition : HACHETTE
numéro : 20.1135.1
Idéal - Bibliothèque
LES DEUX JUMELLES ENID BLYTON
ILLUSTRATIONS DE JACQUES POIRIER
Couleurs et noir & blanc pleine page hors texte annotées, et
couleurs et noir & blanc in texte.
L'histoire était enseignée par Miss Kennedy et le chahut régnait pendant ses cours. p. 23
« Miséricorde! » s'écria Gladys indignée. p. 31
« Attention, Miss Roberts vient! Asseyez-vous vite! » p. 56 & 57
Crac crac! Pan pan! Siss siss! Plusieurs pétards explosèrent. p. 61
Ses compagnes poussèrent des cris d'émerveillement. p. 69
Isabelle était leste et rapide. p. 77
Catherine et les jumelles écoutaient, bourrelées de remords. p. 97
Le chimpanzé tendit solennellement sa patte aux enfants. p. 104 & 105
La représentation dépassa tout ce qu'elles avaient imaginé. p. 113
Les élèves poussèrent des cris de joie. p. 121
« Cette pauvre bête est blessée. Qu'allons-nous faire? » p. 147
Elle pria la standardiste de la mettre en communication avec la police. Catherine crut que son cœur s'arrêtait. p. 161
Si elle jetait un regard sur ce papier elle pourrait apprendre par cœur les réponses. p. 169
Soudain, Isa s'aperçut du manège. p. 177
Dépôt légal N° 1059 3e trimestre 1975
20.09.1135.05
Imprimé en France
Sur les presses de Maury-Imprimeur S.A.
48330 Malesherbes
N° d'imprimeur : G75/2454
© Librairie Hachette, 1964.
Tous droits de traduction, de reproduction
et d'adaptation réservés pour tous pays.
Reliure : cartonnée éditeur, à dos carré illustré couleurs en recto
Imprimé en France
par Lienhart & Cie - Clamart
Nombre de pages : 188 TABLE des MATIÈRES : OUI
Poids : 310 grammes
Format : 140 x 205
mm
I.S.B.N : 2.01.002811.2 Code Barre = EAN : NON
Livre épuisé chez l'Editeur
EXTRAIT Deux jumelles en pension, by Enid BLYTON page 22
Dès le début, Isabelle et Patricia encoururent les foudres de Mam'zelle, car si elles parlaient presque couramment le français, elles ne s'étaient
jamais donné la peine d'apprendre les règles de grammaire. Et Mam'zelle était inflexible en ce qui concernait la grammaire.
« Isabelle et Patricia! cria-t-elle. Il ne suffit pas de baragouiner une langue. Vous écrivez abominablement le français. Ce devoir est abominable, abominable! »
« Abominable » était l'adjectif favori de Mam'zelle. Elle l'employait pour le temps, un crayon dont la mine se cassait, les élèves, ses lunettes quand elles glissaient de son nez! Isabelle
et Patricia l'appelaient entre elles « Mam'zelle Abominable » mais tout bas, car elles avaient un peu peur de la Française à la grosse voix et au bon cœur.
L'histoire était enseignée par Miss Kennedy et le chahut régnait pendant ses cours. La pauvre Miss Kennedy était gauche et mal fagotée. Désireuse de gagner le cœur de ses élèves et de leur
faire faire des progrès, elle répondait à toutes les questions, même les plus saugrenues, sans s'apercevoir que la plupart du temps ses élèves s'amusaient d'elle.
« Avant nous avions Miss Lewis comme professeur d'histoire, expliqua Henriette aux jumelles. Elle était merveilleuse. Malheureusement elle est tombée malade au milieu du dernier trimestre
et elle a demandé à la directrice de prendre son amie Miss Kennedy jusqu'à son retour. Miss Kennedy a passé des tas d'examens, il paraît qu'elle est d'une intelligence supérieure. On ne le dirait
pas à la voir! »
Peu à peu les jumelles s'initièrent aux habitudes du collège, mais au bout de deux semaines elles n'étaient pas encore résignées à être « des zéros », selon l'expression de Pat.
Une coutume en particulier les exaspérait. A Saint-Clair, comme dans tous les autres collèges anglais, les « petites » devaient servir les « grandes ». Dans les deux classes de fin
d'études, les élèves jouissaient d'un enviable privilège : chacune d'elles partageait avec une amie de son choix une petite pièce pompeusement baptisée « cabinet de travail ».
Elles avaient la permission de meubler très simplement ces bureaux et, quand il faisait froid, d'y faire du feu et d'y goûter au lieu de descendre au réfectoire. Un jour, une élève entra
dans la salle de récréation où les jumelles lisaient et appela Margaret.
COUVERTURES
COMMENTAIRE en ligne
Deux jumelles en pension, by Enid BLYTON
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ANNEXE
Deux jumelles en pension, by Enid BLYTON
Editeur : Hachette impr Brodard et Taupin (1964)
A.S.I.N : B0014YBRLC
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LIENS
Wikipédia
Enid Blyton
Série Deux Jumelles